Month: août 2013

VIVRE AU-DELÀ DES PROBABILITÉS

Beaucoup d’entre nous prennent chaque jour des décisions fondées sur des probabilités. Si les probabilités de pluie sont de 20 p. cent, il se peut que nous n’en tenions pas compte. Si elles sont de 90 p. cent, nous sortirons notre parapluie. Plus les probabilités sont grandes, plus elles influencent notre comportement, car nous désirons faire des choix sages et qui nous réussissent.

CONSCIENT DE SON IMAGE

Lorsque nous regardons de vieilles photos de famille, mes cousins et moi plaisantons au sujet des traits physiques dont nous avons hérité. Nous remarquons surtout les traits négatifs : de courtes jambes, des dents de travers, des rosettes rebelles. Nous pouvons tous facilement reconnaître en nos ancêtres les traits physiques qui nous déplaisent le plus en nous. Nous avons aussi hérité de traits de caractère, certains agréables, d’autres pas. Par contre, nous ne prêtons pas toujours autant attention à ceux-là.

LE DON DU SOUVENIR

Durant mes études au séminaire, j’ai travaillé dans une maison de retraite. Au cours de nos conversations, presque tous les patients en venaient à me dire qu’ils se sentaient maintenant seuls dans la vie et qu’ils étaient conscients de survivre à leurs pairs. La plupart se demandaient si l’on se souviendrait d’eux après leur départ.

S’AMÉLIORER

Lorsque je suis sur le point de quitter la maison, il arrive que ma femme, Martie, m’arrête pour me dire : « Tu ne peux pas aller au bureau habillé comme ça ! » Généralement parce que ma cravate ne convient pas à mon veston ou la couleur de mon pantalon ne va pas avec celle de mon blouson. Même si j’ai parfois l’impression que ses reproches d’ordre vestimentaire mettent en doute mon bon goût, j’en suis venu à comprendre que son influence correctrice sert toujours à m’améliorer.

UNE ÉTALE DE COURANT

Je trouve fascinant l’attrait que la lune exerce sur nos grands océans, en créant les marées hautes et les marées basses. Lors du changement de marée, il y a une courte période que l’on appelle « l’étale de courant », quand l’eau n’est ni haute ni basse. Selon les scientifiques, la tension de l’eau est alors superficielle. Il s’agit d’une pause tranquille avant que la marée recommence à s’exercer.

CONTENU, MAIS PAS ÉTEINT

En juin 2012, l’incendie du canyon Waldo a détruit 346 maisons à Colorado Springs, au Colorado, et a incendié plus de 7300 hectares de forêt en montagne. On a déclaré l’incendie entièrement circoncis lorsque l’on a eu terminé de creuser des tranchées entourant toute la région enflammée. On a confiné l’incendie dans un endroit précis jusqu’à ce qu’on l’ait éteint. Une autorité du service de lutte contre les incendies a averti les résidants qu’ils risquaient de continuer de voir de la fumée s’élever de la région incendiée parce que, même si l’incendie était entièrement contenu, on ne s’en était toujours pas rendus maîtres et on ne l’avait toujours pas éteint.

L’ANCRE DE L’ESPOIR

Frank, Ted et moi pêchions sur le lac Rice en Ontario, au Canada. Nous étions à bord d’un ponton et le poisson mordait allègrement. Affairés à appâter et à hameçonner nos lignes, nous avons lentement pris conscience que l’action s’était relâchée. Puis nous avons compris pourquoi : le bateau ne se trouvait plus là où nous l’avions immobilisé. Un vent fort s’était levé et l’avait poussé de l’autre côté de l’eau. L’ancre, qui ne parvenait pas à nous garder en place, avait traversé le lac en raclant le fond. Nous l’avons remontée, nous sommes retournés à notre endroit de prédilection et nous l’y avons rejetée à l’eau. Nous avons dérivé de nouveau. Après un troisième essai, nous sommes retournés sur la rive. Nous ne parvenions pas à faire tenir notre ancre en place.

LA DÉCEPTION : SOURCE DE JOIE

Quand je fréquentais le collège biblique, j’ai passé une audition pour faire partie d’une des équipes musicales itinérantes de l’école. Je me réjouissais à l’idée de prendre part à ce ministère, mais j’ai été très déçu d’apprendre que je ne ferais pas partie de l’équipe. Dans ma déception, je ne pouvais que me dire que les desseins de Dieu étaient supérieurs aux miens.

BAISSER LES YEUX

Après que j’ai subi une chirurgie ophtalmologique mineure, l’infirmière m’a dit : « Ne baissez pas les yeux au cours des deux prochaines semaines. Ne faites ni cuisine ni ménage. » La dernière partie de ces directives étaient un peu plus facile à accepter que la première ! Les incisions devaient guérir, et elle ne voulait pas que je leur impose de pressions inutiles en baissant les yeux.

LA BIENHEUREUSE ESPÉRANCE

Tant de prédictions par rapport à la fin du monde ne se sont pas accomplies. Ces prédictions sont bouleversantes et remplissent souvent les gens de crainte. Pourtant, la Bible évoque un temps, appelé « le jour du Seigneur », où Christ reviendra. Cela se produira, mais seul Dieu sait quand.